Réduit la pollution... Les décharges de vieux pneus représentent un source majeure de pollution. À part le fait qu’elles sont une horreur pour la vue, elles attirent la vermine, ne laissent pas l’eau s’écouler, créent un terrain fertile pour les moustiques et, plus encore, sont dangereuses et hautement inflammables. Dans le cas d’un incendie, des vapeurs toxiques et une épaisse fumée se répand dans l’atmosphère. En rechapant les pneus, ils deviennent opérationnels et peuvent à nouveau parcourir de nombreux kilomètres. En conséquence, moins de pneus s’ajoutent au décharges publiques.

Préserve le pétrole... Des études américaines démontrent qu’il faut environ 80 litres de pétrole brut pour produire un pneu neuf pour camion. D’un angle positif, le rechapage d’un de ces pneus ne nécessite qu’un cinquième du pétrole brut nécessaire pour en produire un neuf. Le rechapage préserve des centaines de millions de gallons de pétrole chaque année.

Économise d’énergie... Le procédé unique et avancé de vulcanisation à froid de rechapage des pneus de Bandag® utilise moins d’énergie pour fabriquer un produit d’une performance utilitaire similaire à celle d’un pneu neuf. Certains procédés de rechapage ont recours à un processus à chaud qui nécessite des températures de plus de 160 degrés Celsius pour polymériser le rechapage. Bandag® a développé un processus qui ne nécessite que des températures aussi peu élevées que 99 degrés Celsius pour faire adhérer les sculptures à la carcasse. Dépendamment de sa qualité et des conditions, un pneu de camion ou d’autobus bien fabriqué peut être rechapé plus de deux ou trois fois et seulement une seule carcasse de pneu peut être mise au rebut plutôt que plusieurs.